IL FAUT QUE LE RÉPONDE AU QUESTION SUIVANTE PAR RAPPORT AU POÈME HEUREUX QUI COMME ULYSSE 1)Dans les deux quatrains, quelles sont les
Question
2)Relève les comparaisons et explique-les dans le premier quatrain.
3)Quel sentiment est développé dans les quatrains ? Le poète est-il heureux de voyager ? Justifie ta réponse en citant le texte.
5)Dans un tableau, relève dans les deux tercets : d’un côté les indications sur le lieu où il est en voyage et de l’autre les indications sur le lieu où il est né. Où est-il en voyage ? Où est-il né ?
6) Quel lieu préfère-t-il ? Pourquoi ? svp j’ai vraiment rien compris
1 Réponse
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1. Réponse niogret2m
Réponse :
1. Les deux premiers quatrains utilident les phrases exclamatives puis les interrogatives.
Ainsi s'expriment deux sentiments : partir puis revenir mais quand ?
2. Les comparaisons :
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Deux comparaisons de la mythologie : Ulysse et Jason?
3. Les sentiments exprimés : la joie et l'impatience à cause de la nostalgie du pays natal.
4. Le poète est heureux de voyager : "heureux", "beau voyage"
5. Le lieu du voyage : les palais romains, le marbre dur, Tibre latin, mont Palatin
Le pays natal : l'ardoise, mon Loir gaulois, petit Liret, douceur angevine
6. Sa préférence va au pays natal : l'Anjou, le pays des aïeux.
Explications :
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m'est une province, et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine :
Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l'air marin la doulceur angevine.