Recopiez le texte ci-dessous en rétablissant la mise en page et la ponctuation du dialogue. Il pénétra chez un autre marchand à l'entrée de la rue de la Paix. D
Français
mizoreo2008
Question
Recopiez le texte ci-dessous en rétablissant la mise en page et la ponctuation du dialogue.
Il pénétra chez un autre marchand à l'entrée de la rue de la Paix. Dès qu'il eut aperçu le bijou, l'or- fèvre s'écria : Ah! parbleu ; je le connais bien, ce collier ; il vient de chez moi. M. Lantin, fort trou- blé, demanda : Combien vaut-il ? Monsieur, je l'ai vendu vingt-cinq mille. Je suis prêt à le reprendre dix-huit mille, quand vous m'aurez indiqué, pour obéir aux prescriptions légales, comment vous en êtes détenteur. Cette fois, M. Lantin s'as- sit perclus d'étonnement. Il reprit : Mais..., mais, examinez-le bien attentivement, Monsieur, j'avais cru jusqu'ici qu'il était en... en faux.
svp c'est pour demain
Il pénétra chez un autre marchand à l'entrée de la rue de la Paix. Dès qu'il eut aperçu le bijou, l'or- fèvre s'écria : Ah! parbleu ; je le connais bien, ce collier ; il vient de chez moi. M. Lantin, fort trou- blé, demanda : Combien vaut-il ? Monsieur, je l'ai vendu vingt-cinq mille. Je suis prêt à le reprendre dix-huit mille, quand vous m'aurez indiqué, pour obéir aux prescriptions légales, comment vous en êtes détenteur. Cette fois, M. Lantin s'as- sit perclus d'étonnement. Il reprit : Mais..., mais, examinez-le bien attentivement, Monsieur, j'avais cru jusqu'ici qu'il était en... en faux.
svp c'est pour demain
1 Réponse
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1. Réponse hermansclara08390
Il pénétra chez un autre marchand, à l'entrée de la rue de la Paix.
Dès qu'il eut aperçu le bijou, l'orfèvre s'écria : Ah! parbleu ! Je le connais bien, ce collier ,il vient de chez moi.
M. Lantin, fort troublé, demanda : -Combien vaut-il ?
-Monsieur, je l'ai vendu vingt-cinq mille.
-Je suis prêt à le reprendre dix-huit mille, quand vous m'aurez indiqué pour obéir aux prescriptions légales, comment vous en êtes détenteur.
Cette fois, M. Lantin s'assit perclus d'étonnement. Il reprit :
-Mais examinez-le bien attentivement.
Monsieur, j'avais cru jusqu'ici qu'il était en faux.
Voila, Bonne chance